Amputée et dans un sale état Marry Mubaiwa: la Miss et ex-épouse du VP Zimbabwéen est au bout de sa vie

Marry Mubaiwa, son nom est devenu tristement célèbre depuis quelque temps. De déboires en déboires, la reine de beauté ne compte désormais que des jours sombres et tristes. La Miss Zimbabwe de mettre fin à ses jours, après s’être fait amputé le bras dans un contexte où elle est accusée de meurtre sur son ex-époux, le vice-président zimbabwéen Constantino Chiwenga.




Marry Mubaiwa est une ancienne reine de beauté et ex-épouse du vice-président zimbabwéen Constantino Chiwenga. La jeune femme menace de se suicider des semaines après l’amputation de son bras. Selon les informations, gravement malade depuis plusieurs mois, Marry Mubaiwa a reçu un diagnostic de lymphœdème aigu. Après le rejet de ses demandes de se faire traiter à l’étranger par les tribunaux, son bras a été amputé.




« Je ne vais pas bien du tout, et j’ai l’impression que si j’étais sorti du pays pour me faire soigner, j’irais mieux, mais le tribunal a refusé de me donner mon passeport dans le cadre des conditions de libération sous caution », a t-elle dénoncé.






Dans un entretien accordé à un journal sudafricainMarry a confié qu’après la dure bataille pour la garde de ses enfants, avec le vice-président zimbabwéen Constantino Chiwenga, son ex-mari, qu’elle est au bord de la dépression. A l’en croire, à cela s’ajoute, la détérioration de sa santé physique et le fait qu’elle n’a pas vu ses enfants depuis 2019.




« Surtout ne pas voir mes enfants me fait très mal. Parfois, je commence à penser au suicide – et ne soyez pas surpris [si c’est le cas]. Je n’ai pas parlé à mes enfants et je ne les ai pas vus depuis 2019. Nos enfants n’ont rien à voir avec ce qui se passe entre nous… Ce sont de jeunes enfants. Je me demande toujours ce qu’il leur dit de moi. Ce sont des enfants qui ont besoin de leur mère » a ajouté Marry.




Des accusation de meurtre


En effet l’ancienne reine de beauté est accusée de tentative de meurtre de son ancien mari, le vice-président Constantino Chiwenga. « J’ai passé des nuits et des jours à pleurer, demandant à Dieu : ‘Pourquoi as-tu laissé cela m’arriver ? Tout ce dont on m’accuse, je ne l’ai pas fait.






En ce moment, je suis tellement malade. J’ai des problèmes avec mes jambes qui sont enflées et si douloureuses, et les médecins m’ont dit après l’amputation de mon bras droit que mon corps avait trop de liquide », a lâché l’ex-épouse du vice-président zimbabwéen Constantino Chiwenga en réponse aux accusations.


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